Dimanche 7 mars 2010 - 3e Dimanche de Carême Quel est le sens de la vénération des reliques ? Quel prix l'Eglise attache-t-elle à cette pratique ? Petit rappel historique et théologique.
« Celui qui est affectionné pour quelqu’un vénère aussi les choses que cette personne a laissées d’elle-même après sa mort » dit simplement saint Thomas d’Aquin (†1274). Comme d’habitude la théologie part de l’expérience humaine la plus simple et spontanée. Quand vous regardez le collier que portait votre grand-mère ou le missel dont elle se servait, ce n’est pas au collier ou au missel que va votre affection, mais à votre grand–mère que ces objets vous rappellent. Vous vous souvenez alors de sa bonté et de sa foi, des bons conseils qu’elle vous a prodigués et vous rendez grâce à Dieu de vous avoir donné une telle grand-mère. C’est dans ce comportement humain tout à fait naturel que s’enracine le culte des reliques. Si nous conservons des vêtements ou des objets de nos aïeux, à bien plus forte raison devons-nous vénérer le corps d’un saint qui fut le membre de Jésus Christ, le temple et l’instrument de l’Esprit-Saint et qui est promis à l’éternelle résurrection. Historiquement le culte des reliques a commencé avec le témoignage des martyrs … Pour lire la suite sur le site paroissial, cliquez ici ! |
dimanche 7 mars 2010
Dans l'attente des reliques de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
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1 commentaire:
Bonjour Thib,
L´époque de Paques vient de commencer...
À très bientôt et bon dimanche
Elisa, Argentine
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