Entre la messe du dimanche matin péniblement vécue, un repos nécessaire au milieu d'un monde qui court et les nombreuses occupations et obligations familiales, associatives et sociales de la vie moderne, le "devoir dominical" a de nombreuses raisons pour ne pas être en haute estime ... On constate d'ailleurs que l'expression a pratiquement disparu du vocabulaire de nos chers ecclésiastiques. Faut-il pourtant s'en réjouir si vite ? Si on ne considère l'obligation pour tout catholique de participer au moins chaque dimanche à la messe que sous l'angle uniquement juridique de l'obligation, on risque de verser dans un formalisme qui confine au pharisaïsme. Mais on peut également considérer cette obligation que nous fait l'Église comme une miséricorde à notre faiblesse. C'est précisément parce que l'Église connaît la faiblesse du cœur humain et comment l'amour peut s'y tiédir et même s'y refroidir, qu'elle nous fait cette obligation comme un ultime recours pour nous éviter l'hiver de l'amour. Elle nous fait l'obligation du devoir dominical comme un minimum vital de l'amour de Dieu… Pour lire la suite de cette réflexion de Don Vincent Clavery sur notre site paroissial, cliquez ici ! |
jeudi 20 mai 2010
Pour en finir avec le "devoir dominical"
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